Le stockage des roues
La stratégie « No Hands »
24 juin 2024 agvs-upsa.ch – Le stockage des roues comme activité complémentaire connaît une forte demande. Des roues de plus en plus grandes et lourdes ainsi que des conditions de travail exigeantes pour les collaborateurs amènent à repenser et à adopter de nouvelles stratégies. Comme chez Irega. Andy Maschek
Gottfried Scholz, propriétaire d’Irega AG
Pour Gottfried Scholz, propriétaire d’Irega AG, il est clair que « Nous n’avons plus besoin de parler de la fidélisation du client et des affaires supplémentaires à générer avec l’exploitation de la capacité de l’atelier : tout le monde le sait. Dans ce contexte, on entend souvent dire que l’on ne gagne rien à entreposer des roues. Ce n’est pas nécessaire. On peut gagner de l’argent avec le stockage des roues, si on le fait bien ! »
G. Scholz et son entreprise ont mis au point un système qui permet de générer un chiffre d’affaires intéressant grâce au stockage des roues. Les établissements équipés par Irega le confirment, déclare G. Scholz. Cependant, en raison de la situation économique difficile actuelle, les investissements restent modérés, si bien que la location constitue la solution la mieux adaptée. Ou, comme le dit G. Scholz : « Les garages bénéficient immédiatement des avantages et, en temps normal, de revenus bien plus élevés, et au bout de six ou sept ans, le système loué vous appartient. »
Dès le démontage des roues, il convient de placer l’ensemble des roues sur le nouveau diable télescopique, le catcher. Le diable de préhension permet de soulever facilement le jeu de roues complet. La force habituellement requise pour le saisir et l’incliner avant de le déplacer n'est plus nécessaire. Ce travail peut ainsi être effectué sans problème par des personnes moins fortes. Ce diable se déplace, mais il peut aussi être rangé grâce à ses deux roues supplémentaires. Il est à peine plus cher qu’un diable classique, avec lequel la prise et la dépose des roues nécessitent une certaine force. De plus, le chariot peut aussi être rabattu pour que les roues puissent rouler sans problème dans la machine à laver, par exemple.
Avec le récupérateur de roues, celles-ci sont stockées dans les rayons inférieurs ou, pour le Gorilla, elles sont acheminées vers l'appareil de desserte. Le stockage de plusieurs essieux superposés est une corvée qui n’est pas non plus sans danger pour les collaborateurs. Tempi passati ! Lorsque les roues sont sur le transstockeur, elles sont simplement transférées sur le Gorilla. Si l’on devait empiler ces roues à la main, il faudrait poser la roue supérieure à une hauteur de près de deux mètres. Mais grâce à la fourche dont est équipé le transstockeur et à la fourche du Gorilla, la pile de roues est simplement transférée, ce qui est non seulement plus simple, mais aussi plus rapide qu’à la main. Le transstockeur d’Irega, le Gorilla 7 T EG, est équipé d’une fourche qui, grâce à un élévateur électrique, place les roues dans la position optimale pour l’utilisateur. Il suffit ensuite à l’utilisateur de tirer légèrement sur cette roue pour la placer sur la structure et il ne reste plus qu’à la ranger dans le compartiment prévu. Si l’étagère dispose en plus de tablettes de roulement et d’entretoises de guidage, tout devient encore plus facile. De manière générale, une certaine vitesse de travail est presque garantie, ce qui est très intéressant d’un point de vue économique.
Facilité d’utilisation pour le stockage et le déstockage des roues.
Pour transporter les roues à un autre endroit, la remorque abaissable avec le hayon rabattable est idéale, car elle peut être chargée et déchargée avec le Catcher sans avoir à toucher les roues. Et pour les très grandes quantités, Irega a développé le système de transport sur roues, le Hummel. Celui-ci permet de charger les roues (pas moins de six jeux de roues complets) sur le camion à l’aide d’un chariot élévateur ; là encore, sans qu’il soit nécessaire de toucher aux roues.
Gottfried Scholz, propriétaire d’Irega AG
Pour Gottfried Scholz, propriétaire d’Irega AG, il est clair que « Nous n’avons plus besoin de parler de la fidélisation du client et des affaires supplémentaires à générer avec l’exploitation de la capacité de l’atelier : tout le monde le sait. Dans ce contexte, on entend souvent dire que l’on ne gagne rien à entreposer des roues. Ce n’est pas nécessaire. On peut gagner de l’argent avec le stockage des roues, si on le fait bien ! »
G. Scholz et son entreprise ont mis au point un système qui permet de générer un chiffre d’affaires intéressant grâce au stockage des roues. Les établissements équipés par Irega le confirment, déclare G. Scholz. Cependant, en raison de la situation économique difficile actuelle, les investissements restent modérés, si bien que la location constitue la solution la mieux adaptée. Ou, comme le dit G. Scholz : « Les garages bénéficient immédiatement des avantages et, en temps normal, de revenus bien plus élevés, et au bout de six ou sept ans, le système loué vous appartient. »
Dès le démontage des roues, il convient de placer l’ensemble des roues sur le nouveau diable télescopique, le catcher. Le diable de préhension permet de soulever facilement le jeu de roues complet. La force habituellement requise pour le saisir et l’incliner avant de le déplacer n'est plus nécessaire. Ce travail peut ainsi être effectué sans problème par des personnes moins fortes. Ce diable se déplace, mais il peut aussi être rangé grâce à ses deux roues supplémentaires. Il est à peine plus cher qu’un diable classique, avec lequel la prise et la dépose des roues nécessitent une certaine force. De plus, le chariot peut aussi être rabattu pour que les roues puissent rouler sans problème dans la machine à laver, par exemple.
Avec le récupérateur de roues, celles-ci sont stockées dans les rayons inférieurs ou, pour le Gorilla, elles sont acheminées vers l'appareil de desserte. Le stockage de plusieurs essieux superposés est une corvée qui n’est pas non plus sans danger pour les collaborateurs. Tempi passati ! Lorsque les roues sont sur le transstockeur, elles sont simplement transférées sur le Gorilla. Si l’on devait empiler ces roues à la main, il faudrait poser la roue supérieure à une hauteur de près de deux mètres. Mais grâce à la fourche dont est équipé le transstockeur et à la fourche du Gorilla, la pile de roues est simplement transférée, ce qui est non seulement plus simple, mais aussi plus rapide qu’à la main. Le transstockeur d’Irega, le Gorilla 7 T EG, est équipé d’une fourche qui, grâce à un élévateur électrique, place les roues dans la position optimale pour l’utilisateur. Il suffit ensuite à l’utilisateur de tirer légèrement sur cette roue pour la placer sur la structure et il ne reste plus qu’à la ranger dans le compartiment prévu. Si l’étagère dispose en plus de tablettes de roulement et d’entretoises de guidage, tout devient encore plus facile. De manière générale, une certaine vitesse de travail est presque garantie, ce qui est très intéressant d’un point de vue économique.
Facilité d’utilisation pour le stockage et le déstockage des roues.
Pour transporter les roues à un autre endroit, la remorque abaissable avec le hayon rabattable est idéale, car elle peut être chargée et déchargée avec le Catcher sans avoir à toucher les roues. Et pour les très grandes quantités, Irega a développé le système de transport sur roues, le Hummel. Celui-ci permet de charger les roues (pas moins de six jeux de roues complets) sur le camion à l’aide d’un chariot élévateur ; là encore, sans qu’il soit nécessaire de toucher aux roues.
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